Le Li-Fi entre dans la ville intelligente (Slate)

Cette technologie de transmission de données numériques par la lumière, à peine connue il y a deux ans, séduit de plus en plus les collectivités, les commerces et les autres acteurs de ces villes à la recherche de leur intelligence numérique. Avenir de la smart-city ou simple nouvelle méthode de transmettre de l’information? Enquête dans le monde de la nouvelle technologie lumineuse.

«La Lumière et ses technologies participent pleinement au développement de la société», indiquait l’Unesco en janvier dernier, lors du lancement de l’Année internationale de 2015, sur le thème de la lumière. À l’heure où l’ensemble des pays proclament l’avènement de la ville intelligente et multiplient les conférences et prises de position en faveur des économies d’énergie, ces mots prennent un sens tout particulier. D’une part parce qu’à travers le monde plus de 4 milliards de lampes d’éclairage public sont recensées. D’autre part parce que la majorité sont très loin d’être des ampoules de basse intensité. Enfin, parce que, depuis 2012, le Li-Fi, une technologie utilisant la lumière comme moyen de transmission de données, est apparue en France et fait des émules.

Cette innovation permet de transformer une source lumineuse, issue d’une ampoule LED, en diffuseur de contenu numérique: lorsqu’on se place sous l’ampoule, le smartphone ou la tablette, équipé d’un récepteur adapté, reçoit les informations transmises par la lumière, d’une manière qui rappelle un peu le morse. Si, lors de sa présentation au salon LeWeb 12, à la Plaine-Saint-Denis, le Li-Fi (light-fidelity) n’était qu’en phase expérimentale, aujourd’hui, ces expérimentations se précisent à l’échelle grandeur nature. Lire la suite sur Slate.

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